Je ne sais que peu de choses de mon enfance, mais durant toutes ces années j'ai pu retrouver des bribes de mémoires et rassembler un peu de mon histoire. Je suis Almaliel... tout court. Comme tous j'ai eu une mère, un père et probablement des frères et sœurs.
Mes premiers souvenirs remontent à ma famille d'accueil à Fondcombe. L'histoire que l'on m'a toujours racontée était que mes parents avait été tués par des orques quelque part dans les Terres Solitaires alors que nous entamions un séjour dans la grande ville des Hommes, Bree. Attaqués en pleine nuit mes parents n'ont pas survécu. Le lendemain deux jeunes elfes me trouvèrent errant et pleurant cette tragique perte. Ils me prirent alors sous leur protection et je repartis, malgré la douleur, à Fondcombe avec ces deux êtres qui allaient devenir ma future et seule famille.
Je continuais ainsi le reste de mes années dans la cité d'Elrond, que je n'ai jamais vu, probablement occupé à quelques affaires entre ça sublime fille, Arwen, et un rôdeur du nom de Grand-Pas, mais cela m'importait peu. Je me souviens que j'enviais certains compagnons elfes qui jouissaient d'un avenir, qui allaient partir à l'aventure, et surtout de ceux qu'on appelait "les maîtres du savoir". Tout cela me fascinait, en effet je voyais en cette faculté la possibilité de retrouver, par quelque moyen, ce qui m'avait été pris. Mais rien ne pouvait être fait pour changer ce que je ne possédais de nature... Alors que je fulminait contre tout et tout le monde, buvant un goûteux Hydromel de ces bons petits Hobbits, un maître archer vint me consoler. Et ce fut à ce moment précis que je sus où serait mon avenir, dans les flèches qui portent l’esprit avec agilité, qui volent vite et précisément afin d'atteindre leur cible. Il me prit donc comme élève et je partis à l'aventure à mon tour.
C'est dans les Hauts-du-Nord que par hasard, et comme il est courant dans la Terre du Milieux, je cherchais de courageux aventuriers qui comme moi avait quelques quêtes à faire et surtout des têtes d'orques à faire tomber, que je fis la rencontre d'une talentueuse cambrioleuse nommée Capucinella. Et après avoir guerroyé avec vigueur l’idée vint comme évidence d’entrer en essai dans la communauté des « Lames de Combes ».
Mes premiers souvenirs remontent à ma famille d'accueil à Fondcombe. L'histoire que l'on m'a toujours racontée était que mes parents avait été tués par des orques quelque part dans les Terres Solitaires alors que nous entamions un séjour dans la grande ville des Hommes, Bree. Attaqués en pleine nuit mes parents n'ont pas survécu. Le lendemain deux jeunes elfes me trouvèrent errant et pleurant cette tragique perte. Ils me prirent alors sous leur protection et je repartis, malgré la douleur, à Fondcombe avec ces deux êtres qui allaient devenir ma future et seule famille.
Je continuais ainsi le reste de mes années dans la cité d'Elrond, que je n'ai jamais vu, probablement occupé à quelques affaires entre ça sublime fille, Arwen, et un rôdeur du nom de Grand-Pas, mais cela m'importait peu. Je me souviens que j'enviais certains compagnons elfes qui jouissaient d'un avenir, qui allaient partir à l'aventure, et surtout de ceux qu'on appelait "les maîtres du savoir". Tout cela me fascinait, en effet je voyais en cette faculté la possibilité de retrouver, par quelque moyen, ce qui m'avait été pris. Mais rien ne pouvait être fait pour changer ce que je ne possédais de nature... Alors que je fulminait contre tout et tout le monde, buvant un goûteux Hydromel de ces bons petits Hobbits, un maître archer vint me consoler. Et ce fut à ce moment précis que je sus où serait mon avenir, dans les flèches qui portent l’esprit avec agilité, qui volent vite et précisément afin d'atteindre leur cible. Il me prit donc comme élève et je partis à l'aventure à mon tour.
C'est dans les Hauts-du-Nord que par hasard, et comme il est courant dans la Terre du Milieux, je cherchais de courageux aventuriers qui comme moi avait quelques quêtes à faire et surtout des têtes d'orques à faire tomber, que je fis la rencontre d'une talentueuse cambrioleuse nommée Capucinella. Et après avoir guerroyé avec vigueur l’idée vint comme évidence d’entrer en essai dans la communauté des « Lames de Combes ».
Bonsoir à tous, voilà mon histoire un peu improvisée je dois l'admettre. Et je tiens à m'excuser si je n'ai pas écris correctement le nom de Capucinella... c'est que je m'en souviens plus en fait. Ceci étant je suis contente d'être parmi vous!!!