Glaldi Dim 7 Juin - 18:43Bonjour à tous, aujourd'hui je prends la peine de me présenter pour que vous sachiez qui est donc ce nain qui vient de vous rejoindre.
Je me nomme Glaldi et je suis ménestrel, mais un ménestrel un peu différent. Je ne suis pas très enjoué, pas si ouvert qu'on pourrait le croire. Plutôt renfermé sur moi même, je reste à l'écart du monde pour ne pas faire de mauvaises rencontres. Car comme disait mon père "La vie est belle fiston, c'est le monde qui est pourri". Ce diction a toujours guidé ma raison, me forçant à m'éloigner du monde pour profiter de la vie et non de ces occupants. Ma famille et moi même venont du mont solitaire, là bas nous avons grandi à l'écart, on survivait par nos propres moyens et la vie que nous menions, nous ne la devions qu'a nous-même, sans jamais avoir le moindre compte à rendre. J'aidais mon père à extraire le minerai pour qu'il confectionne des armures, et j'aidais ma mère à faire nos vêtements. J'ai toujours préféré être près de ma mère, j'étais de toute manière plus doué pour coudre que pour fabriquer une armure, d'ailleurs c'est ce qui désesperé mon père. Et puis un jour ... je suis parti. Je ne compte pas m'étendre là dessus car j'estime que ma vie doit rester un minimum privée. Quoi qu'il en soit je me suis disputé avec mon père et je suis parti en emmenant mes maigres possessions avec moi. Toujours en restant à l'écart du monde j'ai grandi, seul. Je me suis découvert une passion pour la musique, ce qui était pour moi un moyen de m'évader pour oublier mes soucis. Puis je me suis apercu que ma musique et mes histoires plaisaient beaucoup, alors j'ai décidé de devenir ménestrel. J'ai suivi un long apprentisage auprès d'un mentor compétent qui m'a aidé à devenir ce que je suis. C'était la première fois que le monde me plaisait, comme quoi le dicton de mon père était peut être faux finalement ... Mais tout ceci était encore trop profondément encré en moi pour que je me décide à faire un pas vers les gens, alors je suis resté seul. Jusqu'au jour où j'ai rencontré Torby lors de mon voyage dans la Comté.
J'étais en train de courrir dans les champs pour rapporter une tourte avariée à Holly, je passe sur le pont quand une hobbite affamée me barre la route. Je tente de passer mais je me fais prendre, ma pauvre tourte ... J'ai soupiré et Torby s'est addressé à moi. On a commencé à parler de mon histoire de tourte avant de parler des poissons qu'il était actuellement en train d'attraper. J'ai fini par pêcher avec lui et j'ai passé un agréable moment, nous avons alors discuté de la confrérie qu'il avait rejoint, Les Lames de Combe. Il m'a alors proposé de la rejoindre et pour être franc j'ai hésité. Une confrérie ... Cela ne représentait pas grand chose pour moi, j'ignorais ce que c'était réellement et j'avais peur que mon inexpérience me défavorise. Mais notre ami hobbit ne s'est pas démonté, il m'a tranquillement expliqué le fonctionnement de la confrérie, me disant que le plus important c'était avant tout la bonne humeur, une bonne entente. Je m'appretais à refuser quand je me suis mis à penser à mon père ... Il m'avait dit de m'éloigner du monde, et malgré notre déssaccord je l'écoutais encore ?! Complétement idiot ! Alors, comme pour défier mon paternel, j'ai accepté l'invitation et en y réfléchissant, je ne le regrette pas.
Voila ... Voila tout ce que vous pouvez savoir de moi, mais je suis toujours introverti. Appelez ça de la timidité si vous le désirer, cela ne change rien.
La vie est belle ... Le monde aussi ?
Je me nomme Glaldi et je suis ménestrel, mais un ménestrel un peu différent. Je ne suis pas très enjoué, pas si ouvert qu'on pourrait le croire. Plutôt renfermé sur moi même, je reste à l'écart du monde pour ne pas faire de mauvaises rencontres. Car comme disait mon père "La vie est belle fiston, c'est le monde qui est pourri". Ce diction a toujours guidé ma raison, me forçant à m'éloigner du monde pour profiter de la vie et non de ces occupants. Ma famille et moi même venont du mont solitaire, là bas nous avons grandi à l'écart, on survivait par nos propres moyens et la vie que nous menions, nous ne la devions qu'a nous-même, sans jamais avoir le moindre compte à rendre. J'aidais mon père à extraire le minerai pour qu'il confectionne des armures, et j'aidais ma mère à faire nos vêtements. J'ai toujours préféré être près de ma mère, j'étais de toute manière plus doué pour coudre que pour fabriquer une armure, d'ailleurs c'est ce qui désesperé mon père. Et puis un jour ... je suis parti. Je ne compte pas m'étendre là dessus car j'estime que ma vie doit rester un minimum privée. Quoi qu'il en soit je me suis disputé avec mon père et je suis parti en emmenant mes maigres possessions avec moi. Toujours en restant à l'écart du monde j'ai grandi, seul. Je me suis découvert une passion pour la musique, ce qui était pour moi un moyen de m'évader pour oublier mes soucis. Puis je me suis apercu que ma musique et mes histoires plaisaient beaucoup, alors j'ai décidé de devenir ménestrel. J'ai suivi un long apprentisage auprès d'un mentor compétent qui m'a aidé à devenir ce que je suis. C'était la première fois que le monde me plaisait, comme quoi le dicton de mon père était peut être faux finalement ... Mais tout ceci était encore trop profondément encré en moi pour que je me décide à faire un pas vers les gens, alors je suis resté seul. Jusqu'au jour où j'ai rencontré Torby lors de mon voyage dans la Comté.
J'étais en train de courrir dans les champs pour rapporter une tourte avariée à Holly, je passe sur le pont quand une hobbite affamée me barre la route. Je tente de passer mais je me fais prendre, ma pauvre tourte ... J'ai soupiré et Torby s'est addressé à moi. On a commencé à parler de mon histoire de tourte avant de parler des poissons qu'il était actuellement en train d'attraper. J'ai fini par pêcher avec lui et j'ai passé un agréable moment, nous avons alors discuté de la confrérie qu'il avait rejoint, Les Lames de Combe. Il m'a alors proposé de la rejoindre et pour être franc j'ai hésité. Une confrérie ... Cela ne représentait pas grand chose pour moi, j'ignorais ce que c'était réellement et j'avais peur que mon inexpérience me défavorise. Mais notre ami hobbit ne s'est pas démonté, il m'a tranquillement expliqué le fonctionnement de la confrérie, me disant que le plus important c'était avant tout la bonne humeur, une bonne entente. Je m'appretais à refuser quand je me suis mis à penser à mon père ... Il m'avait dit de m'éloigner du monde, et malgré notre déssaccord je l'écoutais encore ?! Complétement idiot ! Alors, comme pour défier mon paternel, j'ai accepté l'invitation et en y réfléchissant, je ne le regrette pas.
Voila ... Voila tout ce que vous pouvez savoir de moi, mais je suis toujours introverti. Appelez ça de la timidité si vous le désirer, cela ne change rien.
La vie est belle ... Le monde aussi ?
